AES: Les groupes terroristes agonisent sous la puissance militaire des forces combattantes

Plusieurs informations concordantes en provenance des différents fronts tenus par les forces combattantes indiquent une dynamique positive dans la lutte antiterroriste. Les groupes terroristes ont subi de lourdes pertes infligées par les patriotes qui mènent, depuis quelque temps, l’initiative sur le terrain, aussi bien en offensive qu’en défensive.
Une guerre de haute intensité est en cours, et seuls les terroristes peuvent témoigner de la fureur qui émane des crépitements des armes des FDS et des VDP dans la reconquête triomphale du territoire national.
En effet, selon des sources militaires, les groupes terroristes en particulier le JNIM (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans) seraient au bord de l’implosion, ce qui pourrait marquer la fin de leurs actions criminelles dans l’espace sahélien.
La bonne coordination des opérations militaires entre le Burkina Faso et le Mali a permis d’infliger de lourdes pertes à ce groupe, qui contrôlait auparavant certaines zones stratégiques à la frontière des deux pays.
Selon la même source, la puissance de feu des deux armées, combinée à la détermination de leurs fantassins, a permis de réduire de 61 % la zone d’influence du JNIM et d’éliminer 14 de ses commandants, parmi lesquels les tristement célèbres Abu Bakr Al Fulani, Khalil Ansari, Hamid al-Wagari et Moussa B., alias Al-Bara.
Ces pertes humaines enregistrées dans le rang des auxiliaires de l’impérialisme s’accompagnent également d’un effondrement de leur logistique transfrontalière, dont le flux aurait diminué de 67 %.
Les opérations militaires, toujours en cours, témoignent de l’engagement et de la détermination sans précédent des deux armées à contraindre les derniers éléments de ce groupe armé à déposer les armes.
Le Sahel traverse l’une des étapes les plus douloureuses de son histoire. L’arrivée des militaires à la tête du Mali, du Burkina Faso et du Niger désormais réunis au sein de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES) a ravivé le patriotisme des citoyens, qui, dans une sorte d’éveil de conscience collective, semblent retrouver le goût de l’existence et la nécessité de se défendre face à tout adversaire, d’où qu’il vienne.
Wendyam

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